dans un blog sur la médiocrité cette dernière ne doit concerner que l'histoire. la médiocrité doit apparaitre sulfureuse,douce... hors dans ce deuxième thème,c'est la narration qui en transpire le plus. "fortuitement je me suis retrouvé dans ma cuisine" ok ton déambulateur a choisi un programme aléatoire... "une fois dans la cuisine,je me suis souvenu"...ok.... une fois dans la pièce il n'y avait que ray charles qui devant un saladier de fruits a besoin de faire appel à ses souvenirs... et puis la banane dénudée....même dans un film porno à 2 balles fait par des illétrés,c'est moins lourd
]]>Le retour de la miniature: BabOOnerie
Il y avait bien longtemps qu'on ne s'était pas plié à l'exercice. Pour ceux qui ne connaissent pas, retrouvez le principe ici. Le billet que Borgo a publié ce matin m'a donné le sujet de ce jour. Publiez un billet babOOnesque (exemple ici)
]]>Salut Gu et merci de ton passage. À l'occasion, je tenterai de me faire un banana split avec une banane non épluchée. Mais je demeure perplexe. Mais pour répondre à Roxanne, je pense que c'est bon. Très bon, même !
Le bonjour, Veuve Tarquine. Quel plaisir de vous voir céans, pour apprécier à sa juste valeur, ce délicieux fruit. N'hésitez pas à vous resservir.
Je crois que ça va être une tournée de bananes pour tout le monde ! En tant que BabOOn, de la famille de cercopithécidés j'en puis être le pourvoyeur, sur la carnétosphère.
]]>Bien marrant ton blog Baboon !
]]>Non que je considérasse que tu fusses, à ce point, prévisible. Fichtre nenni ! Pareil affront ne me viendrait même pas à l'idée. C'est plutôt que je n'en attendais pas moins d'un esprit - le tien - que j'ai pris l'habitude de considérer comme alerte.
Connaissant le point d'honneur que tu t'évertues - ô noble vertu - à mettre dans la rectitude d'un parler et d'un écrit qui ne souffrent d'aucune faiblesse, tant orthographique que syntaxique. Dans ta bouche, la langue française est telle une maîtresse que tu honores si bien ;
Connaissant aussi ta propension pour une certaine forme de gouaille, dans laquelle il est hardu de trouver quelconque particule de vulgarité, je me suis dit qu'il n'était probablement personne de mieux placé que toi, dans mon lectorat, pour noter la facétie à laquelle je me suis prêté. Je me suis donc amusé, je le confesse, à tendre une perche (Vertuchou ! Y aurait-il quelqu'inavouable allusion dans mes propos ?)
Qu'on le veuille ou que l'on s'y refuse, la banane (n.f.) est un fruit (n.m.) qui est très facilement connoté. J'ai, en ce sens, volontairement pris le parti (au singulier, je vous prie, voyons !) d'accorder le participe passé épluché avec le mot fruit, sous-entendu dans la forme pronominale l'un d'entre eux (l'un de ces fruits).
Et d'ailleurs, pour renforcer ce choix, j'ai opté pour l'érection d'une barrière autour du mot banane, l'isolant du reste des mots, laquelle barrière est matérialisée par l'usage de tirets cadratins.
Voilà donc comment je m'explique l'usage du masculin dans ma note. Personne ne t'a menti, pHiLoGrApH - du moins sur la question des déclinaisons des participes !
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